Présentation sur le estructuralisme américain
http://prezi.com/zhhusa2eqy2e/le-structructuralisme-americain/
martes, 5 de noviembre de 2013
Le structuralisme dans le contexte de la linguistique américaine
http://htl.linguist.univ-paris-diderot.fr/num3/godart.pdf
http://htl.linguist.univ-paris-diderot.fr/num3/godart.pdf
viernes, 25 de octubre de 2013
Edward Sapir
- Sapir était le plus brillant étudiant de Boas à l’université de Columbia. Il assimila les méthodes de collecte de données sous la direction de Boas et fit siennes les thèses fondamentales de cedernier sur la langage et la culture, et il acquit une compréhension détaillée de la structure et de la complexité des systèmes linguistiques des langues autochtones (amérindiennes). [Anouveau, je n’ai pas rencontré de preuve qu’il ait lu le Cours de Saussure, mais le rôle de la structure linguistique en synchronies’avère essentiel à travers toutes ses analyses phonologiques et grammaticales. Il se peut que les fondements Boasiens de son inspiration l’aient encouragé à adopter les thèses structuralistes au fur et à mesure qu’elles traversaient l’Atlantique au cours de sa vie.]
- Il reçut à l’université Columbia une double formation en linguistique historique et comparative (1er cycle et Master) et en anthropologie (doctorat). Columbia était le fer de lance de l’anthropologie à cette époque et avait également un département de qualité en linguistique comparative traditionnelle. Sapir devint un bon spécialiste en analyse synchronique et diachronique et il devint l’un des rares linguistes de premier plan de l’époque structurale qui ait profondément médité sur les voies du changement linguistique (annonçant ainsi le développement de la typologie diachronique par Greenberg).
- Il développa des thèses très originales en typologie des langues et à propos des systèmes grammaticaux, et ses analyses ne laissaient pas de côté les aspects sémantiques, contrairement à ce que fit plus d’un dans le sillage de Bolombield.
LINGUISTIQUE I :
SENSIBILISATION ET CONNAISSANCES GÉNÉRALES
http://www2.unine.ch/repository/default/content/sites/orthophonie/files/shared/documents/bibliographies/1er_annee/depietroplancours0304.pdf
Le structuralisme américain
• Se développe indépendamment du structuralisme européen.
• La linguistique a pour seule tâche la description objective des langues.
• Développement important de l’analyse phonologique, notamment grâce aux travaux sur les langues amérindiennes.
• Deux notions essentielles : environnement et distribution.
• Introduit la morpho-phonologie, un autre niveau de représentation: idée qu’on peut expliquercertains phénomènes de variation phonologique en s’appuyant sur des contraintes morphologiques.
Bref aperçu du structuralisme en linguistique et en phonologie
http://lesla.univ-lyon2.fr/sites/lesla/IMG/pdf/doc-309.pdf
lunes, 21 de octubre de 2013
domingo, 20 de octubre de 2013
Le structuralisme américain.
Edward Sapir
Sapir est né, en 1884, est un linguiste et anthropologue americain d'origine lituanienne. Son travail porta essentiellement sur le langage en tant que fait culturel à part entiêre. Il est notamment connu pour la fameuse hypothèse Sapir-Whort. Il meur en 1939.
Apports
Edward Sapir a
été le principal fondateur de la linguistique américaine, en produisant une
œuvre d’une ampleur et d’une profondeur équivalentes à celle de Saussure, qui comporte
à la fois d’importants travaux de phonologie et de syntaxe, et qui surtout, en s’appuyant
sur l’étude des langues amérindiennes (avec B.L. Whorf), a visé à mettre en évidence
les interactions entre systèmes de langue et systèmes culturels, et à analyser
le rôle joué par les langues dans le développement de la personnalité humaine.
Comme le faisaient ses contemporains psychologues Mead et Dewey, Sapir visait à
élaborer une science intégrée de l’humain, et mettait l’accent sur les dimensions
sociales, sémiotiques et culturelles du développement ; mais dès le premier quart
du XXe, ce type d’approche a été combattu, puis a quasiment disparu, sous
l’effet de la diffusion du behaviorisme dans l’ensemble des sciences humaines
américaines.
Contemporain de
Sapir, Leonard Bloomfield est précisément l’auteur qui a introduit la perspective
behavioriste en linguistique, et qui est le créateur indiscutable du Structuralisme
américain proprement dit. Récusant, comme le préconisait le behaviorisme initial,
le rôle des facteurs sociaux et culturels, Bloomfield analysait les
interactions verbales en termes stricts d’enchaînements stimulus-réponse, et
considérait toute phrase comme une réaction mécanique à des événements
externes. Et il s’est efforcé d’analyser la structure interne des phrases dans
une même perspective mécanique, qui ne prenait en compte, ni les états mentaux
des locuteurs (comme tentaient de le faire les membres du CLP), ni les effets
de sens produits par les phrases. Il prétendait que l’on pouvait analyser une
langue sans la maîtriser (sans la comprendre), en s’en tenant à l’examen technique
de ses règles d’organisation interne, et c’est lui qui a exploité
systématiquement les techniques de manipulation des phrases évoquées plus haut , et qui les a organisées et conceptualisées sous les expressions
d’analyse distributionnelle et d’analyse
en constituants immédiats.
Edward Sapir a posé aussi, pour la typologie des langues des critères formels et
non plus historiques, et qui, dans cette perspective, oppose le pattern («
structure ») et la réalité parlée. Saussure avait proposé dès les années 1900
une hypothèse générale sur la nature et le fonctionnement du langage ; Sapir,
indépendamment de Saussure, avait établi plusieurs distinctions qui annoncent
le structuralisme, comme celle entre phonologie et phonétique, synchronie et
diachronie.
Selon Sapir la langue est une composante culturelle. La forme de la
langue impose un mode d’appréhension du monde : c’est ce qu’on
appelle le relativisme linguistique. L’hypothèse dite de Whorf-Sapir (Sapir-Whorf hypothesis) parce que reprise et prolongée par Benjamin Lee Whorf, lui aussi spécialiste des langues améridiennes.
On peut ensuite avoir une approche plus ou moins radicale de
l’Hypothèse Whorf-Sapir :
- soit langue et pensée se confondent : la langue détermine la
pensée au point d’être une forme de pensée en soi ;
- soit langue et pensée sont distinctes, mais la langue organise la
pensée (ainsi un sujet sourd qui ne maîtriserait pas de langue
aurait une pensée désorganisée).
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